- • Sébastien: gestionnaire des opérations restauration et produits alimentaires
- • Béatrice: cheffe de produit
- • Marie-Lise: cheffe de produit senior
1. Comment décririez-vous votre trio de travail?
Sebastien Beaudoin: Proactif, créatif, en mode solution, avec une belle ouverture d’esprit et autocritique. On aime se donner des défis pour aller chercher le meilleur résultat. La chimie entre nous trois est très bonne.
Béatrice Larrivée: Je dirais complémentaire. Sébastien soutient tous les développements et Marie-Lise est très méticuleuse. On est tous créatifs à notre façon. Les trois parties sont essentielles.
Marie-Lise St-Amand: Collaboratif et foodies! On s’assoit les trois ensemble pour établir nos plans de match, puis valider les projets auprès des fournisseurs et d’IGA. On se demande toujours si chaque idée représente bien la marque. Le projet est ensuite lancé et on part en développement.
Le développement d’un produit passe par un long processus, à commencer par l’idéation! La plupart du temps, l’inspiration provient de recettes déjà existantes sur le site. Les fournisseurs sont ensuite interpellés afin de développer le produit demandé, puis IGA, qui travaille étroitement avec l’équipe de développement alimentaire.
Brigitte et Ricardo sont aussi engagés dans le procédé, tout comme notre directrice générale Mireille Arteau, qui ajoute son grain de sel tant au niveau du plan stratégique, que de l’approbation des produits alimentaires. Un vrai travail d’équipe où tout le monde met ses papilles au service du meilleur.
2. En quoi le choix d’un bon fournisseur est-il indispensable afin que les produits soient à notre image, accessibles et savoureux?
S.B.: Chercher un fournisseur est une des étapes les plus importantes du processus. Il faut voir comment il travaille, ses valeurs, l’histoire de l’entreprise. Tout ça, dans des délais souvent serrés. On cherche à choisir le meilleur partenaire pour nous et pour bien faire rayonner les produits. Lorsqu’on a un nouveau projet, quand c’est possible, on revient vers nos présents collaborateurs avec qui on a développé une relation et qui connaissent notre marque.
B.L.: En premier lieu, quand on développe un produit, on pense toujours au potentiel de développement d’une gamme. On cherche donc à développer des relations durables avec lesquelles on peut grandir. On aime se déplacer, aller voir l’usine, rencontrer les gens. Les relations fortes facilitent la collaboration. Nos fournisseurs externes deviennent un peu nos collègues, à leur façon.
M.S.: C’est sûr qu’on a beaucoup de fournisseurs maintenant. Rien ne sort d’une usine sans qu’on ait eu l’occasion de goûter aux produits plus d’une fois. Récemment, on a passé une journée entière en usine afin de goûter à un produit auquel on avait fait des modifications. On participe même aux tests de durée de vie de certains produits, comme les vinaigrettes par exemple. On est en collaboration constante avec eux et on dépend de leur bonne expertise. C’est vraiment un travail d’équipe.
«Dans notre travail, il y a beaucoup de dégustations (pratiquement tous les jours), beaucoup de suivi (autant avec les fournisseurs qu’avec IGA), une partie “paperasse” (certifications), mais beaucoup de créativité.»
— Béatrice
3. Quel aspect du développement de produit aimez-vous le plus et pourquoi?
S.B.: Tout ce qui se passe entre le premier échantillon et le dernier. On voit une grande évolution entre l’idée qui a été mise sur papier et le produit final, c’est vraiment intéressant. Il arrive parfois qu’on soit confiant dès le premier test.
B.L.: C’est dur à dire, car j’aime beaucoup de choses: l’idéation, le choix des recettes, la visite à l’usine, la collaboration... J’aime participer à la stratégie du développement alimentaire et goûter à nos produits!
M.S.: Ce que j’aime le plus, c’est tout ce qui touche la négociation commerciale. J’aime l’aspect relationnel de la collaboration que j’entretiens avec l’équipe d’IGA, les fournisseurs et la relation de proximité avec eux. C’est ce qui apporte du dynamisme à mes semaines.
«J’ai longtemps travaillé comme chef cuisinier. J’adore utiliser mon expertise pour développer des produits goûteux et performants selon les réalités en épicerie. Par exemple, au lieu d’ajouter une tomate dans un sandwich, on peut mettre une mayonnaise aux tomates séchées, ce qui est réalisable par nos usines et qui dure plus longtemps en épicerie.» — Sébastien
4. Parlez-nous de ce qui vous anime, de vos ambitions pour ce pan de l’entreprise, qui est le développement de la gamme de produits alimentaires.
S.B.: Je trouve que ça concorde tout à fait avec la mission d’entreprise, soit de «Manger ensemble». On veut développer des produits phares afin d’aider les gens en cuisine, selon le temps dont ils disposent. Le meilleur exemple est le gâteau au chocolat. On a la recette sur le site, le mélange à gâteau prêt à cuisiner pour ceux qui veulent s’épargner quelques étapes et aussi le gâteau prêt à manger qu’on retrouve en épicerie. Les consommateurs ont le choix, selon leur emploi du temps.»
B.L.: Je veux qu’on continue à développer des produits qui respectent la marque et pour tous les types de consommateurs. Un des souhaits pour le secteur alimentaire est également de lancer nos produits à travers le Canada chez Sobeys dans les prochaines années.
M.S.: En faisant partie de la grande famille d’IGA, il y a beaucoup de place pour nos produits. Je suis contente de voir leur grand succès auprès des consommateurs. Nous sommes à peu près partout dans les épiceries IGA et les résultats sont au rendez-vous.
«95% du temps, on fait goûter les tests par les collègues au bureau. Cela nous donne des munitions, c’est un vrai bon échantillonnage!»
— Marie-Lise
Le dynamisme de RICARDO Media provient de personnes comme Sébastien, Béatrice et Marie-Lise, qui investissent temps et efforts pour se démarquer et apporter une plus-value aux produits alimentaires, tout en restant au diapason avec la marque.
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