« On mange rarement la betterave crue. Pourtant, lorsqu’elle est fraîchement cueillie, son goût est sucré, pas terreux du tout», remarque Ricardo. On a donc profité de la saison des récoltes pour travailler différentes variétés (ici, la bicolore et la jaune) dans leur plus simple expression, tranchées minces à la mandoline. Quant au jus qui teinte le boulgour, on peut se le procurer dans les épiceries, mais si on possède une centrifugeuse, c’est l’occasion de le concocter maison avec nos restes de betteraves.