Comme on va manger de la dinde de toutes les façons en décembre, Ricardo a choisi ici de la cuire sur une plaque en quatre morceaux (idéalement deux cuisses et deux poitrines, pour que tout le monde y trouve son compte) qu’on sert à table déjà tranchés. Le temps de cuisson s’en trouve considérablement réduit. Pour ramener les saveurs boréales, on inclut des aromates, comme des baies de genièvre, pour le côté « sapin », et du gin dans la saumure (qui revient en rappel dans la sauce aux oignons perlés). Résultat : la dinde est hyper juteuse et facile à servir.